C’est qui Henri Deroche?

« J‘me présente, je m’appelle Henri »

Bien avant de devenir photographe de mariage je pourrais vous dire que j’ai un parcours atypique mais pas du tout. Depuis tout petit, je suis passionné par deux choses, la musique et la photographie.

Après des études de Droit je me suis tourné vers la lutherie à fabriquer des violons, altos, violoncelles.

En parallèle depuis 2008 la photographie est devenue un second emploi… avec le temps il a fallu faire un choix, l’atelier de lutherie ou les mariages. Il m’était devenu difficile de gérer les deux.

En conséquence la photographie a pris le dessus depuis 2014 et je m’y adonne à fond !

Qu‘est-ce que j’aime?

tant de choses !

Mais au détour des conversations vous remarquerez vite que certaines petites choses prédominent.

Une passion pour la musique qui me suit depuis tout petit. En conséquence Un post-traitement digne de ce nom ne se fait pas sans un bon son dans les oreilles.

En même temps, si vous passez à la maison, vous verrez une « petite » étagère de jeux de société. Syndrome transmis par ma femme. De fait nous adorons nous affronter sur un petit jeu ou avec nos amis pour des parties endiablées.

La bonne cuisine aussi… Régulièrement les rendez-vous préparatifs se transforment en Brunch ou apéritifs dinatoires.

Où est-ce que j’habite?

Je suis basé sur Orléans. Enfin pas tout à fait. Plutôt à quelques encablures.

En outre, c’est un havre de paix pour travailler et post traiter vos évènements.

Mais aussi pour vous recevoir autour d’un café ou d’un déjeuner pour préparer votre journée !

Orléans a aussi un avantage géographique certain. Voyageant dans toute la France et à l’étranger pour vos mariages il m’est très facile de me déplacer partout. Tout est à proximité, autoroute, train, aéroports.

Couple de mariés dans les fumigènes lors d'un cocktail de mariage à Orléans

Photographe Mariage

Il s’agit de ma principale activité.

En effet j’ai très vite pris le virus du mariage. J’y vois tellement d’émotions fortes, de moments importants, générationnels également.

Mon approche photojournalistique vous suit donc tout au long de cet évènement.

Je souris, ris, pleure un peu parfois, bref je le vis intensément avec vous.

Photographe de chasse

Une fois la saison terminée je troque mon costume et deviens photographe de chasse.

Je suis sur le même principe de reportage documentaire des journées de battues.

Petits ou grands gibiers et quel que soit le lieu en Europe, voire plus loin.